Comment la médecine traditionnelle chinoise conçoit-elle les maladies ?
Selon un médecin traditionnel chinois qui m’a énormément inspiré, il a expliqué le mécanisme des maladies dans son livre « Initiation à la médecine chinoise classique » et je l’ai résumé en schéma suivant :
C’est-à-dire qu’une maladie grave a eu un développement long qui a commencé par l’esprit et qui a impacté le niveau physique par l’intermédiaire de l’énergie qui peut être considéré comme des « ondes ». Les relations entre les 3 aspects sont mutuelles. Quand nous avons mal quelque part, c’est plus difficile d’avoir des pensées positives.
Il a donné un exemple dans son livre. C’est comme un gouvernement qui sort une nouvelle politique (transformer des pensées en papiers officiels) – source, elle impacte les capitaux, la culture sociale, la logistique etc – intermédiaire invisible. Résultat visible – matérialisation, certains domaines et certaines entreprises se développent et d’autres se portent moins bien ou disparaissent, cela impactera chaque personne concrète.
La MTC s’occupe surtout de ces deux premières étapes, au niveau de l’esprit et de l’énergie. Beaucoup de médecines douces également, comme l’homéopathie, les fleurs de Bach, la sophrologie, la kinésiologie, l’hypnose etc.
Quand il s’agit d’une maladie « purement » physique, par exemple, une fracture à cause d’une chute, la localisation et la cause des problèmes sont très claires, la médecine moderne est très adaptée et efficace. Mais de plus en plus de maladies ont des symptômes physiques et les causes se trouvent au niveau énergétique – émotionnelle, y compris les croyances, les relations sociales, le stress etc, on les appelle souvent « les maladies somatiques ».
La MTC a aussi des moyens pour détecter des maladies avant qu’elles soient détectables par les examens médicaux, parce qu’elles sont encore au premier ou à la deuxième étape et elles ne sont pas encore « matérialisées ». A une époque, les empereurs ne payaient que les médecins s’ils n’étaient pas malades, qui est un signe qu’ils ont bien fait leur travail.